vendredi 26 décembre 2008

Mea culpa


Qui a dit qu'il ne neigeait pas dans le Sud ? Hein ?
Bon, je parlais de Noël, et à Noël non il n'a pas neigé.
Le lendemain par contre...

S'est donc imposée à moi une expédition polaire, un peu pour aller chercher le pain, surtout pour sourire bêtement sous la neige avec mes amis les Strokes dans les oreilles et prendre des tas de photos (manquer de se rétamer par terre une dizaine de fois fait aussi partie du charme).












J'en ai profité pour sortir mon bonnet top fashion orné de sapins et autres caribous.

mercredi 24 décembre 2008

We wish you a merry christmas ...

Noël pour moi, ça ne veut pas dire neige (le Sud forcément...), père Noël, aussi sexy soit il ou encore repas copieux en famille, parce que ce soir c'est avec papa devant une raclette, sans même de sapin en plastique cette année. Alors comment se rendre compte que c'est Noël sans tout ces symboles ?
Facile, le calendrier de l'avant. Le chocolat d'usine dans des petits cartons sauvagement arrachés chaque jour, c'est génial quoi. Et ça n'a pas d'âge non, à 90 ans j'aurais toujours mon calendrier en décembre.

Et aujourd'hui c'était le gros chocolat du 24, presque le paradis.
Néanmoins je n'ai pas tout mangé, non ! J'ai gardé le 16 pour l'anniversaire de Maïa, meilleure amie de son état depuis notre rencontre passionnée en CM1, depuis quelques années la tradition c'est que je lui garde le chocolat du 16, en pré-cadeau.




Tenez, une photo de notre tendre enfance, passée dans un photomaton.








Joyeux Noël les enfants, amusez-vous bien.

Bonus de Noël :




















(Photo de Louise Bourgoin et Julien Doré tirée du dernier numéro des Inrocks.)

mardi 23 décembre 2008

Danse dans ton anorak !


Les petits intermèdes sur France Télévisions pour annoncer le changement d'heure des programmes sont accompagnés de "La berceuse hip-hop du docteur Madeleine", de Dionysos of course.
Dionysos, figure toi, c'est mon groupe à moi depuis maintenant quelques années, ouep.

Flash back : mon frère avait mis Western sous la neige dans la voiture et la chanson cachée de Rodéo, celle de John McEnroe, finissait magnifiquement en fausses notes de flûte.
Paf
, le déclic. Pour oser casser les oreilles à son public à coup de flûte, Dionysos était forcément un groupe formidable. Après de multiples fouilles chez les disquaires mais surtout sur Internet (pas bien, pas bien je sais) ma "fan-attitude" était née, je sais pas, je devais avoir dans les 13/14 ans.

En 3ème, mon premier concert d'eux, entourée de grands adolescents avec les cheveux plus ou moins longs, je me tortillais et jouais des coudes comme je pouvais pour aperçevoir Mathias, le fameux fripond sautillant et tous ses formidables compères.
En 1ère, le second, génial encore une fois, et avec quelques concerts dans les pattes depuis les 2 dernières années, plus de facilité pour écraser les vilaines groupies mouhahaha.

Petite déception cependant au nouvel album, trop de featuring tue le featuring et quand on aime, les autres paraissent quand même un peu en dessous du génie dionysiaque.

N'empèche je les aime, et par la force des choses et du temps, forcément j'en aime d'autres, tout en leur restant fidèle.


Je profite de cet article musique pour exclamer mon immense fierté pour ma Sara, ma copine de 6ème, devenue une de mes amies les plus chères.
Pour la voir, et surtout entendre sa voix magnifique :
http://www.correzetelevision.fr/site/index.php?option=com_hwdvideoshare&task=viewvideo&Itemid=188&video_id=749

lundi 22 décembre 2008

Allez viens, on parle un peu de moi.


Ci-dessus photo d'une petite partie de Toulouse et d'une grande partie de la Garonne depuis le Pont Neuf, qualité pourrie de mon portable, cadrage pourri de moi.

Ma mère m'a dit : "Au BAFA (à Toulouse, le pourquoi du comment de la photo) tu te trouvera un copain qui jouera du banjo !"
Le sujet traité n'est pas mon non-désespoir sentimental mais le fait que pour ma mère, l'homme idéal destiné à la chair de sa chair joue du banjo. Mais aujourd'hui qui joue du banjo ? Peut-être trois pseudo-anarchistes bosniaques, un petit de quatre ans qui a reçu le dit objet à Noël, cinq pré-adolescentes en mal d'amour et en pleine recherche de leur talent artistique. (On remarquera l'ordre croissant des chiffres, normalement les auteurs ne font pas remarquer leurs figures de styles mais je ne suis pas considérée par moi-même comme véritable auteur.)
Toute façon je fais même pas mon stage du BAFA parce que ma génitrice s'est trompée de date, après on se demande pourquoi je suis comme je suis.
Come as you are, comme on dit là bas.


Photo "conclusionniste" de moi-même et de mon portable, encore. Si tu ouvres bien tes petits yeux tu pourras voir mon index flouté en bas à droite.

"Elle est cool ta vie, tu devrais faire un blog !" ah ah


Vanne, un pays sans guimauve. C'était histoire de trouver un nom quoi, un peu d'anglais, un peu de jeux de mot et voilà, c'est déjà out.